Les 7 erreurs à éviter quand on choisit ses chaussures infirmières
Introduction
Quand on travaille toute la journée debout, en mouvement constant entre les chambres, le service et le bloc, les chaussures d’infirmière ne sont pas un simple accessoire : elles sont un outil de travail essentiel. Une mauvaise paire peut vite entraîner des douleurs, de la fatigue, voire des troubles musculosquelettiques. Pourtant, beaucoup de soignants commettent encore les mêmes erreurs au moment de les choisir.
Voici les 7 erreurs à éviter absolument pour trouver la paire de chaussures médicales idéale — celle qui vous accompagnera confortablement tout au long de vos gardes.
1 - Choisir uniquement en fonction du prix
C’est une erreur fréquente : vouloir économiser sur ses chaussures de travail.
Une paire bon marché peut sembler attrayante au moment de l’achat, mais elle s’use plus vite et offre souvent un amorti insuffisant. Résultat : douleurs plantaires, mal de dos, et remplacement plus fréquent.
Conseil Polemil : privilégiez un bon rapport qualité/prix plutôt qu’un prix bas. Une paire légèrement plus chère mais bien conçue vous durera plusieurs saisons et préservera votre confort.
2 - Négliger le confort et l’amorti
Les infirmières marchent plus de 5 à 10 km par jour dans certains services. Sans un bon amorti, les chocs se répercutent sur les genoux et le dos.
Des semelles ergonomiques, une mousse à mémoire de forme ou un talon légèrement compensé font une vraie différence.
Astuce : essayez vos chaussures en fin de journée, lorsque vos pieds sont un peu gonflés. C’est le meilleur moment pour évaluer leur confort réel.
3 - Oublier la respirabilité
Travailler dans un environnement chaud et fermé favorise la transpiration. Des chaussures non respirantes peuvent rapidement provoquer mauvaises odeurs, mycoses ou ampoules.
Pensez-y : privilégiez des matériaux respirants comme le cuir perforé ou le textile technique. Les modèles ventilés ou avec doublure microfibre sont idéaux pour éviter l’humidité.
4 - Choisir un modèle non antidérapant
Entre les sols lavés fréquemment, les zones humides ou les liquides renversés, le risque de glissade est réel à l’hôpital ou en EHPAD.
Des semelles antidérapantes certifiées SRC ou SRA sont indispensables.
Vérifiez la norme : une vraie chaussure professionnelle doit être normée EN ISO 20347, gage d’adhérence et de sécurité.
5 - Prendre une mauvaise pointure
Les pieds ont tendance à gonfler au fil de la journée, surtout pendant les longues gardes. Des chaussures trop serrées favorisent les frottements et les douleurs.
Conseil Polemil : choisissez une demi-pointure au-dessus si vous hésitez, surtout si vous portez des chaussettes épaisses ou des semelles orthopédiques.
6 - Négliger le style ou la praticité
Certains modèles sont confortables, mais lourds ou difficiles à nettoyer. D’autres manquent de maintien.
Le bon compromis ? Des chaussures légères, lavables, faciles à enfiler et qui restent esthétiques — car le bien-être passe aussi par l’image que l’on renvoie.
Astuce : les modèles de sabot infirmier ou de baskets médicales modernes allient confort, sécurité et design professionnel.
7 - Ignorer la réglementation ou les besoins du service
Chaque établissement peut avoir ses propres règles : chaussures blanches obligatoires, modèles fermés à l’arrière, semelles silencieuses, etc.
Ne pas les respecter peut vous obliger à racheter une paire rapidement.
Avant d’acheter : renseignez-vous sur les exigences de votre service ou de votre employeur. Chez Polemil, nos fiches produits précisent toujours les normes et usages recommandés pour chaque modèle.
En résumé
Le mot de la fin
Vos chaussures infirmières sont vos meilleures alliées au quotidien. En évitant ces 7 erreurs, vous gagnerez en confort, en sécurité et en sérénité pendant vos gardes.
Chez Polemil, nous sélectionnons des modèles techniques, confortables et conformes aux normes professionnelles, conçus pour répondre aux exigences réelles des soignants.
Découvrez notre sélection de chaussures infirmières confortables et certifiées sur polemil.fr